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Nikolaus Schunck, qui mourut 1776, vivait à Kettenis, aujourd'hui en Communauté Germanophone de la Belgique. La famille Schunck, aux 3 bornes de la Belgique, des Pays-Bas et de l'Allemagne.


Nikolaus Schunck
Un ancêtre de Kettenis lez Eupen.

Nikolaus Schunck (* 04-06-1746 à Kettenis, † 17-07-1776 à Kettenis) fut le premier Schunck à Kettenis lez Eupen (aujourd’hui Belgique), dont la profession de tisserand („Tuchmacher“) est connue.
Eupen a connu un grand essor en tant que ville de textile à cette époque. Les conditions préalables ont été remplies de façon idéale: la disponibilité de la laine (de brebis des Hautes Fagnes qui avait une excellente laine de montagne, l’eau douce de la tourbière, provenante aussi des Fagnes, et les travailleurs à bas prix.
On a supposé pendant longtemps que les ancêtres de cette famille sont venus d’Oppendorf près de Bedburg en Rhénanie. Il n’y a pas d’éléments de preuve à ce sujet, cependant, et nous ne savons pas s’il y avait des relations cultivées. A notre connaissance il y a seulement une tradition orale, cependant, qui ne peut être correcte de cette façon. Voir l’article Les familles Schunck à Kettenis et Bedburg-Lipp. Cela ne signifie pas qu’il n’y a aucun lien entre ces deux familles, mais si c’est le cas, il doit être de plus tôt.
Voici l’histoire qui circulait dans la famille, mais qui ne peut pas être correcte comme ça :

Déjà depuis Nikolaus Schunck, le premier Schunck qui vécut jusqu’à 1776 à Kettenis, les Schunck étaient des tisseurs. Ce n’était pas le cas avant, à la ferme Schunckenhof (à Oppendorf, paroisse Lipp lez Bedburg en Rhénanie). Par là, ils étaient des fermiers riches, puisqu’ils étaient des « halfen », ce qui veut dire, qu’ils avaient pris le Schunckenhof en fermage, et qu’ils n’avaient pas besoin de tisser en hiver. Ces fermes n’étaient pas partagés chaque génération. Ainsi, Nikolaus Joseph Schunck, qui fut le quatrième fils et le sixième enfant, fut conscient qu’il fallut chercher un autre travail. Il le trouva à Kettenis près d’Eupen, où l’industrie de tissage vivait sa période le plus florissante, comme celle de Verviers. Les conditions y furent idéales: la présence de la laine excellente des Hautes Fagnes, l’eau douce de la Vesdre, qui vient des Fagnes aussi, et la main-d’œuvre pas chère.
Les relations avec la famille à Oppendorf ne furent pas cultivées. Il n’y a pas de pièces justificatives sur la raison. Si l’on compare cependant la date de mariage (28/04/1772) à la date de naissance du premier enfant (06/09/1772), on commence à comprendre : il avait apporté de la honte sur la famille et ils furent contents qu’il vive dans le lointain à Kettenis maintenant.

Nicolaus Schunck décéda à Kettenis à l’age de 30 ans le 17/07/1776 après seulement quatre ans de mariage.
Aussi son petit-fils, Nikolaus Severin était tisserand. Celui-là était le dernier ancêtre commun des Schunck néerlandais avec ceux de Kettenis. Il attendait que ses fils aient venus travailler dans le tissage, mais seulement Severin Joseph est resté dans l’atelier de son père. Le fils aîné, un autre Nikolaus, est allé travailler dans l’usine de textile Delius à Aix-la-Chapelle. (industrie textile dans la région d’Aix - en Allemand)
Plus tard, il est parti avec ses frères Wilhelm et Ludwig (et pour peu de temps Arnold aussi) pour Białystok, (en Pologne d’Est de l’époque, donc faisant parti de la Russie tsaristique) sur l’invitation d’un industriel, pourqu’ils modernisent son usine de tissage. Nous avons entendu dire que certains Schunck y ont vécu jusqu’à la fin de la Seconde Guerre mondiale, mais nous n’avons pas d’autres informations.
Comment cette génération a partagé son héritage et pourquoi Arnold a déménagé à Heerlen, vous pouvez lire en allemand à Die Erben Schunck aus Kettenis ( Les héritiers Schunck de Kettenis ), bien que ce soit écrit par mon père, le Néerlandais Pierre Schunck.
Il paraît qu’il y ont habité des Schunck en Pologne d’Est, jusqu’à la fin de la deuxième guerre mondiale, mais l’auteur de ce site y sait rien.
Lisez aussi l’autobiographie de Nikolaus Severin Joseph Schunck de Kettenis (en allemand)
Sur les générations précédentes moins est connu.

Lisez aussi, ce que Hermann Kroppenberg écrit en Allemand.