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Limburg 1940-1945,
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Tous les résistants tombés au Limbourg NL
Le vicaire Verdonschot a commencé son travail de résistance en aidant les prisonniers de guerre francophones qui s’étaient échappés d’Allemagne ( entre autres des camps de Bocholt et de Münster ). Près de Wessem/Maasbracht-Stevensweert, ils étaient amenés de l’autre côté de la Meuse et puis en Belgique. ( Cammaert III [1],p. 195 ) Il dirigeait la L.O. à Koningsbosch depuis l’été 1943 et pour cela il était en contact avec A. Engelen à Echt, le vicaire P.A.H. Römkens à Pey-Echt et le père Bleijs à Roermond. ( Cammaert VIb [2], p. 626. )
Arrêté dans l’église [3#13] au cours d’une action d’envergure le 23 février 1944, suite à l’imprudence d’un plongeur allemand de 17 ans. C’était H. Greune de Mönchen-Gladbach, qui était recherché comme membre des pirates de l’Edelweiss [4]. Il était imprudent. Il voyageait et notait tout. Le vicaire Verdonschot était le seul qui voulait encore l’accueillir chez soi. Chaque fois qu’il fut arrêté, il réussit à s’échapper et ainsi il survécut. Verdonschot, malheureusement, ne survécut pas. ( Cammaert VIb  ;[2], pp. 626-627 )
Le bourgmestre de la commune d’Echt écrivit après la guerre :
La personne en question fut capturée lors de l’évacuation de cette commune ( novembre 1944 à mars 1945 ) par des soldats allemands à Montfort à raison de son travail clandestin et transportée en Allemagne avec une destination inconnue. [3#15]
Verdonschot fut déporté de Vught à Sachsenhausen au début du mois de septembre 1944. En février 1945, il arrive à Bergen-Belsen, gravement affaibli, où il meurt le 2 mars 1945. ( Cammaert VIb [2], p. 627. )
Le bourgmestre de la commune d’Echt continua:
L’adresse résidentielle de la personne concernée était autrefois Echt-Koningsbosch, Breberderweg Oost 14. Cette rue fut depuis renommée Kapelaan Verdonschotstraat. [3#15]
Notes
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