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Limburg 1940-1945,
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Les résistants tombés au Limbourg NL
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Ancien soldat et, après sa démobilisation, superviseur dans la mine d’État Maurits à Geleen. Il était en contact avec le groupe OD de Heerlen et Charles Bongaerts et devint ainsi membre du réseau qui publiait le journal de résistance limbourgeois Het Vrije Volk, à ne pas confondre avec le journal d’après-guerre du même nom [1]. Ce journal clandestin s’adressait principalement aux mineurs et était très bien informé, car ils avaient leurs gens partout, même chez la SiPo à Maastricht ! La demande pour ce magazine était bien supérieure aux 30 à 50 exemplaires que Veerman recevait de Heerlen, si bien qu’ils ont imprimé eux-mêmes au moins une centaine d’exemplaires supplémentaires. Plusieurs membres de l’équipe de Geleen du journal, dont Veerman, ont été arrêtés à raison de trahison, probablement par la belle-sœur d’un des membres de cette équipe. [2])
Il fut arrêté par le SiPo de Maastricht le 27 octobre 1941 [3#3] et transporté à Maastricht. Le 17 octobre 1942, transfert à Scheveningen (Oranjehotel) . De là, à Rheinbach et ensuite à Siegburg. Mort en héros d’épuisement. Condamné à huit ans d’emprisonnement par l’Obersondergericht des Allemands. Travaillait à Siegburg dans la Zellwollefabrik (usine de rayonne), … 16 heures par jour. [3#4]
Pendant la Seconde Guerre mondiale, plus de 3 000 travailleurs forcés travaillaient dans l’usine Phrix à Siegburg. Ils y vivaient dans la prison. [4]
Mort en tant que travailleur forcé après presque quatre ans de captivité. D’après son certificat de décès, il décéda au 90 Luisenstraße à Siegburg, la prison locale. [5] [3#10]
Une rue à Geleen porte son nom. [6][7]
Christiaan Jacobus ( Christiaan “Lou” ) Veerman figure dans l’Erelijst 1940-1945 ( liste d’honneur du Parlement néerlandais ). [9]
Réinhumé dans le Champ d’honneur national à Loenen, sépulture B-18 [10]
Notes