Mechteldis Margaretha Maria Maessen
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Mechteldis Margaretha Maria Maessen n’est pas ( encore ?) sur les murs de la chapelle.
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Monument aux morts à Aachen-Eilendorf

Limburg 1940-1945,
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Les résistants tombés au Limbourg NL

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Mechteldis Margaretha Maria Maessen


 10-10-1901 Roermond      23-07-1968 Roermond (66)
- Résistance initiale - Aide aux prisonniers de guerre évadés - Les aides-pilotes - Aide aux Juifs - Presse clandestine - Femmes dans la résistance - Survivant.e.s - Roermond -

    Source pour les dates de naissance et de décès : geneanet.org. [1]
    Mechteld Maessen et Jan Bronckhorst se sont mariés en 1927. Depuis 1928, ils exploitent le café-hôtel De Beurs au marché de Roermond. [2.1]
    Cammaert écrit : Leur maison au Markt servait de quartier général à de nombreux travailleurs clandestins, notamment dans le domaine de l’aide aux réfugiés alliés, du L.O. et de la presse clandestine. [2.2]
    La résistance a commencé dans les provinces frontalières de l’est des Pays-Bas et surtout au Limbourg par l’aide aux prisonniers de guerre qui s’étaient échappés d’Allemagne. Il s’agissait principalement de francophones. Il y avait un grand besoin de maisons de transit pour ces personnes.
    Un certain nombre de ces maisons existaient à Roermond : les maisons du conseiller comptable J.J. Steemers et de sa femme B. Steemers-Schreurs, de la veuve Loven-Everts, de la famille Lennards, du boucher J. Ramakers, de la veuve A. van Bergen-van der Smissen (elle était d’origine belge), de Mme A. M.J.H. Teuwen-Boonen, le café-hôtel Het Gouden Kruis du couple W.R.H. Smeets et J.H. Smeets-Hendrikx sur Kapellerlaan et le café De Beurs au Markt du couple J.H.M. Bronckhorst et M. Bronckhorst-Maessen. Il est possible que Roermond ait eu d’autres maisons de transit, mais celles mentionnées ici étaient les plus importantes. Des centaines de réfugiés francophones y séjournèrent pour des périodes plus ou moins longues. [2.3]Le 27 avril 1944, le chef de district J. Delsing fut arrêté dans le café par deux membres de la Feldgendarmerie. Il s’agissait d’une réunion de la résistance, mais les gendarmes ne l’ont apparemment pas remarqué ; les autres personnes présentes ont été laissées tranquilles. [3]
    Le mardi 9 mai 1944, Conrad arrête le couple Bronckhorst, soupçonné d’avoir aidé trente prisonniers de guerre. ... Il s’avéra bientôt que le policier de la Sipo avait agi trop hâtivement, ne disposant pas des preuves nécessaires. ... Les époux Bronckhorst ont subi de graves tortures à Maastricht. En juin 1944, ils doivent être jugés par un tribunal à Utrecht, appelé Landgericht. Cependant, deux avocats de Roermond, F. Nederveen et Th.W.L. Peters, avaient minutieusement préparé le dossier, de sorte que le dommage subi par le couple se limita à quatre mois d’emprisonnement. ... Le 18 août 1944, Mme M. Bronckhorst-Maessen fut relâchée. Elle se cacha jusqu’à la libération. Son mari fut libéré le 7 septembre 1944. [2.4]

    Notes

    1. geneanet.org. Maessen, Mechteldis Margaretha Maria
    2. Cammaert, A. P. M. (1994). Het verborgen front: Geschiedenis van de georganiseerde illegaliteit in de provincie Limburg tijdens de Tweede Wereldoorlog, Rijksuniversiteit Groningen.
      1. Hoofdst. 3: Hulpverlening aan uit Duitsland ontvluchte (Franstalige) krijgsgevangenen, p.166
      2. Hoofdst. 0, pp.18ff: Introductie van vaak genoemde personen
      3. Hoofdst. 3: Hulpverlening aan uit Duitsland ontvluchte (Franstalige) krijgsgevangenen, p.160
      4. Hoofdst. 3: Hulpverlening aan uit Duitsland ontvluchte (Franstalige) krijgsgevangenen, p.167
    3. maasniel.nl Het verzet in wereld oorlog 2